Aurélia Delescluse | auteur, écrivain, Accompagnatrice Holistique

Un jour, réaliser réellement…

Un jour, réaliser réellement le « ne pas croire » va s’auto-ajuster en l’Homme.
Et ne pas croire c’est ne pas croire. C’est ne rien croire.
C’est ne pas se laisser atomiquement corrompre ni posséder par l’énergie de la croyance. C’est une dés-émotivation totale dans la conscience et dans le mental de tout désir de croire, c’est laisser s’écrouler sans l’alimenter toute motion vers la croyance et laisser se démotiver toute énergie actionnée par et pour le sujet de la croyance. C’est reprendre et renvoyer vers soi toute l’énergie déposée dans le phénomène de la croyance.
C’est être capable de passer par une petite mort d’un système que l’on appelait le système de croyance de la personnalité psychologique. Et cette descente ou plutôt cette émergence de l’intelligence au centre et en immersion dans un espace de vide créatif nouveau mais su atomiquement parlant…

Aurélia Delescluse | auteur, écrivain, Accompagnatrice Holistique

La croyance ne me rassure plus…

La croyance ne me rassure plus. La croyance me crée de la fatigue. La croyance m’alourdis lorsque je l’actionne ou je la reçois et lorsque j’entends quelque chose ou je lis quelque chose qui fait vibrer le corps astral.
Je n’ai plus de satisfaction à nourrir l’espace mental par de la croyance.
Je n’ai plus de plaisir à nourrir l’espace émotionnel avec de la croyance.
La croyance ne me procure plus de sentiment de sécurité.
La croyance me fait ressentir du dégout.
Un « non c’est pas ça! » vibre atomiquement et cellulairement intérieurement et me fait la rejeter spontanément.
Par une perception de sa vanité dans son caractère vain et dans son caractère qui nourri l’orgueil de la connaissance.Comme l’on peut collectionner des objets, la croyance c’est une collection de formes pour remplir une bibliothèque, une base de données au champ informationnel erroné…

Aurélia Delescluse | auteur, écrivain, Accompagnatrice Holistique

Carnet de bord d’immersion du moment…

La descente de la vibration au niveau corporel. La redescente du surmental jusqu’à l’Humain intégral incarné…

Après ce que l’on pourrait appeler le « gavage » de l’intelligence où la conscience va être infusée en permanence d’explications et où l’Homme va être poussé éthériquement par sa force d’esprit à absorber de l’intelligence, à ranger pour mettre de l’ordre, à nommer, à discerner viennent par étapes des paliers ou des espaces – des inter-espaces – des zones blanches ou ne s’exerce plus aucun désir ou pression de mettre en forme ou de développer des niveaux d’affectivité ou de bricoler quelconque entreprise énergétique et même énergivore pour tenter de rebâtir intérieurement un paysage de réalité ou de tenter de le comprendre.

Le mental tourne lent, la colère rouge devient une colère blanche, une colère sourde, éteinte par un non élan…