Accuser de polariser sur le dévoilement factuel de l’astral en polarisant par aversion pour l’information en résultant est de la polarisation basique. C’est un peu comme le chat qui se mord la queue.
Il y a un problème de compréhension avec cette histoire de polarisation.
Fonctionner hors de la polarité c’est justement la liberté de reconnaitre dans les sphères d’incarnations, la présence de forces électromagnétiques complémentaires et agissantes pour en avoir conscience et ne pas s’assujettir à la forme de la polarité d’une façon cristallisée mais reconnaitre l’expression de ces forces mouvantes co-productives et leur champ logique d’interactivité respectives, créant dans la matière certains « tableaux » obtenus à partir d’un fondu des deux qualités.
Le caractère, la personnalité et le sentiment que nous arrimons à ces principes selon des codes prédéfinis par l’Homme d’un point de vu spirituel, moral, sociétal, religieux ou personnel est ce qui crée justement un attachement à un système de croyance par les polarités et leur donne ce grand pouvoir magnétique sur l’Homme.
Cette non dualité n’est pas le dénie de la polarité tant évoquée dans le domaine de la spiritualité mais l’observation de principes polarisés agissants de façon positive ou négative dans l’expérience de la matière et par leur observation non émotive ne plus en être victime inconsciemment mais le savoir.
Donc être conscient et savoir que ces forces existent et font partie sur un certain niveau d’existence d’un certain niveau d’équilibre et s’inscrivent dans une réalité sans pour autant être réelles dans un absolu.
Sur les plans systémiques et mêmes sur certains plans supérieurs, la polarité est soit inexistante ou très peu caractérisée car elle n’a pas nécessité d’être car ces plans là ne souffrent pas de la même densification et n’ont pas besoin par leur vibration et dans leur dimension d’en passer par la polarité pour avoir leur forme d’existence et de manifestation propre, ce sont d’autres formes plus subtiles, des entitisations de l’esprit moins diffractées, moins éloignées de leur source originelle et plus raffinées et moins assujetties à la forme agrégative et se situant sur des niveaux de densités plus fins et plus élevés que le niveau de densité de l’Homme; elles ne sont d’ailleurs plus soumises au processus agrégatif induit par la substance agrégative qui est à l’origine de la création de la forme dense de nature cristalline géométrique mais elles sont – par rapport à l’Homme – de nature plus éthérique.
Quant à l’induction de l’astral c’est un principe.
Et un principe ça ne se discute pas, ça se sait.
Le dévoiler c’est du relevé d’information direct ça ne dépend pas d’une préférence. Mais de l’observation globale d’un niveau d’action et de production d’une certaine qualité et d’une certaine nature sur la sphère mentale, subtile, énergétique et émotionnelle des créatures.
Comparer la supraconscience vibratoire avec l’approche de la psychologie en discutant de l’archétype inconscient ( anima/animus ) dépeint par Jung ce sont deux niveaux logiques de réalités différents, c’est juste et pertinent à un endroit et à un autre c’est de l’ordre du concept et de la connaissance, ce n’est pas supramental ni vibratoire, c’est psychologique.
C’est l’étude de la névrose créée par la charge d’inconscient et de mémoire traumatique agissant sur le psychisme d’une manière compensatoire par un débalancement créé en fonction d’un contexte et interagissant avec un contexte.
En ce sens il y a des troncs communs dans cette considération avec le supra mental sur la reconnaissance de la présence d’un décalage entre la perception/réaction et le réel donc l’on peut parler dans le cas de l’étude psychologique d’une psyché névrotique ou de psychopathie qui est une névrose ( toujours à caractère compensatoire d’un déséquilibre psychique ) mais ici d’ordre pulsionnel complètement animée par l’inconscient et sans possibilité d’auto-observation, donc de conscience éclairante capable de ramener l’esprit vers le réel. C’est de la bestialité, la psychose est la configuration psychologique la plus éloignée de la conscience.
Dire que voir et dévoiler l’astral le produit et que référencer les modes d’actions d’entités agissantes subtilement sur l’Homme s’inscrit dans une extrapolation de nature négative ce n’est pas intelligent; cela revient pour faire une métaphore à ce qu’un chat se place au plus haut de la chaîne alimentaire en développant un gros ego spirituel mégalomaniaque de chat puis tape de la patte sur la table en disant que les puces et les parasites intestinaux ne sont pas réels et que les dévoiler les attirent et amplifie le rayonnement du phénomène.
Ce n’est pas le chat qui décide d’avoir des puces et qui les entitisent de par sa volonté personnelle ou ses croyances mais c’est la diffraction des forces descendantes qui entitisent les puces pour créer, dans la matière des formes d’existences parasitaires qui choisissent le chat pour la manne énergétique qu’il représente favorisante pour leur survie.
Que le chat y croit ou non les parasites auront leur action. Le chat va se gratter. C’est un principe agissant. Point. Ce n’est pas de la modélisation, c’est factuel. Si le chat ne veut plus se gratter il devra se débarrasser des parasites.
Le réel est ce qui ne change pas selon la croyance que l’on y croit ou non le réel va se produire avec ou sans notre perception, notre participation consciente ou notre accord tacite.
Des choses vont avoir lieu et se manifester que l’on y soit présent consciemment et que l’on en ait la claire vision, le savoir ou pas.
Le réel ne dépend pas de nous. Le réel est ce qui est.
Dire que nous attirons des manifestations astrales uniquement par notre seule volonté personnelle ou vibration c’est précisément de l’anthropomorphisation de la conscience, c’est aller contre un principe réel en le polarisant et en le déviant de son sens primordial en se l’appropriant par gout ou par dégout, nous attirons des forces astrales par principe car les choses sont faite ainsi et c’est ce rapport d’impression entre ces deux plans qui est établi dans ce plan d’incarnation, soit la prédominance par défaut du monde de la mort sur le monde des vivants.
Mais ce qui diffère de l’exemple du chat et qui est très intéressant c’est que contrairement à l’animal qui est dans une pure induction morphogénétique instinctive de nature émotionnelle horizontale, l’Homme a en sus un mental systémique avec une pensée réflective ( et un esprit vertical ) et que ce sont les manifestations astrales qui l’attirent également, par leur double pouvoir d’induction mais aussi de captation hypnotique et de magnétisation qui est à l’origine des formes pensées, ce qui le soumet à des forces aussi bien centrifuges que centripètes, donc il a aussi bien la capacité de projeter que d’introjecter la forme.
Car ici il ne s’agit pas de sang prélevé mais d’énergie psychique et éthérique captée et récoltée par l’astral par principe et par également attention émotionnelle car c’est son carburant principal et ce qui est intéressant, c’est plutôt que d’avoir un niveau d’attention tournée vers l’imagerie produite qui n’est que la résultante et l’émanation ultime formalisée de la supercherie initiale, de développer un rapport de force générant un niveau de tension électrique faisant opposition et barrage au parasitage de la pensée, permettant de maintenir par une électrification cellulaire, ensuite une descente et un contact affermi avec l’esprit qui va lui discerner la source de la vibration reçue pour s’ajuster à une vibration de nature réellement intelligente, de qualité de plus en plus pré personnelle.
Nous existons, l’astral subsiste à nos dépends.
Il ne s’agit pas de rester figé dans une posture défensive en s’assujettissant aux formes astrales et leurs expressions qu’elles soient issues de vibrations positives ou négatives, d’agendas sombres ou lumineux mais de développer l’intelligence qui permet de supplanter ces forces astrales en conscience pour parvenir à voir au delà de ces formes illusoires non créatives mais qui ne font que reproduire et réorganiser sous différentes formes une certaine quantité et qualité de mémoire qui n’est pas au service pour la plupart des cas de l’Homme et de son évolution mais de sa propre organisation, dans un programme d’expérimentation chronique qui s’appelle l’âme terrestre qui est bien différente de l’âme cosmique universelle qui pourrait être définie quant à elle comme une essentialité de nature vibratoire et éternelle.
L’âme terrestre est ce qui se rapproche le plus de la notion de karma dans les enseignements ésotériques de nature spirituelle orientale, soit un reconditionnement d’une charge énergétique et mémorielle, reconduite et remise en circulation dans un contexte favorisé par sa qualité ou son défaut et interagissant sur un plan d’horizontalité avec l’environnement créant d’autres circonstances dans un processus de co-production conditionnée.
Il est possible tout de même de reconnaitre et de décrire le champ et les moyens d’actions de l’astral sans créer plus de formes, simplement par l’observation du principe et du phénomène même si dans un absolu le phénomène est de nature illusoire.
L’astral agit comme un parasite sur un système pour en tirer une substance de qualité énergétique et vitale mais aussi corrompt ce système en le colorant et l’altérant dans sa qualité primordiale d’esprit, en diffractant sa perfection originelle de lumière pour le descendre vers des plans inférieurs, dans un processus involutif pour le garder sous son pouvoir afin d’en détenir le potentiel énergétique durablement.
L’astral est aussi bien la matrice subtile des forces de fausse lumière lucifériennes que des forces animistes bestiales régressives.
L’astral aussi doré ou sombre soit il, aussi flatteur ou trompeur soit il pour l’ego qui le reflète est une prison éloignée du réel et de l’esprit.
Le dévoiler est une chose mais discerner par l’esprit permet au delà d’un processus accusatoire passif de ne plus en être l’instrument mais de retrouver une certaine autonomie et créativité dans son environnement immédiat sans être systématiquement prédéterminé par des forces animiques de destinées, induites par des plans supérieurs ou inférieurs dont les desseins sont hors de la volonté et de la maitrise directe de l’Homme.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle