Publications par Aurélia

Tous ceux ne pouvant pas vous procurer…

Tous ceux ne pouvant pas vous procurer de réel soulagement lorsque vous vous croyez à terre – et la formulation n’est pas innocente – vous poussent indirectement sur des courants d’air, dans un retranchement strict permettant également la redirection vers le principe d’être capable en soi.

C’est dur, radical et sans détours mais celui qui survit nerveusement au dévoilement des illusions relationnelles et traverse les grandes déceptions affectives en étant capable d’en digérer la charge psycho-émotive en interne, seul et sans en transmettre l’énergie à son tour devient libre de découvrir sa propre puissance intérieure et de s’ancrer dans sa propre autonomie puis libre de ne pas transmettre la mémoire de cette souffrance et libre d’en être radié tout simplement et de ne plus appartenir au dévouement à l’expérimental de la souffrance au niveau de l’âme.

Physiologiquement c’est une pente raide et très savonneuse, c’est une insulte à la tendresse pour le système nerveux mais au niveau de la conscience et de sa transparence c’est très doux et libérateur de réaliser…

Une grande perte d’énergie est générée…

Une grande perte d’énergie est générée par le fait d’essayer de faire percevoir ou comprendre quelque chose qui est perçu directement de façon interne de par la complexion précise d’un individu via sa connexion supra-intuitive d’avec les dynamiques vibratoires fondamentales et matérialisées du champ luminique qui le soutiennent, l’interpénètrent et l’entourent continuellement.

Une grande vanité dans le sens de quelque chose dont la pratique s’inscrit dans un caractère vain, illusoire, stérile ou impossible et qui réside dans le désir motionné que cette perception interne soit rendue commune en étant reçue avec exactitude par un individu qui se trouve à l’extérieur de cette systémique et de cette complexion particulière.

Désirer faire comprendre et appréhender des mécaniques et les dynamiques complexes qui sous-tendent ce que l’on pourrait appeler le tissu vibratoire des réalités systémiques intriquées est un désir déplacé, une vanité, une perte de temps et de dynamique de l’énergie vitale centrique…

Pour un individu encore majoritairement régit…

Pour un individu encore majoritairement régit par des dynamiques inconscientes…

L’oppresseur politique ne pouvant être neutralisé directement, l’oppresseur émotionnel ne pouvant être recalé efficacement, l’oppresseur relationnel ne pouvant être touché sensiblement, l’oppresseur professionnel ne pouvant être contourné authentiquement, l’oppression familiale ou transgénérationnelle ne pouvant être apurée jusqu’à son fondement, l’oppresseur interne ne pouvant être adoucit définitivement, l’oppression des forces de survies ne pouvant être balancées véritablement, l’oppression du désir ne pouvant être canalisée paisiblement, l’oppression de l’ignorance ou du doute ne pouvant être solutionnés intelligemment etc…

Faute d’identité réelle et anémié d’une identification confusionnelle avec les plans de l’inconscience expérimentale ou para-objective et carencé de la stabilité du lien télépsychique d’avec sa source fondamentale…

L’on ne peut vivre et sentir vibrer et résonner en soi…

L’on ne peut vivre et sentir vibrer et résonner en soi le principe de ce qui est appelé Amour que lorsque l’on est entièrement capable de s’aimer seul et entièrement libre d’être intégralement soi même parce qu’il n’y a que lorsque l’on est détaché de toute appartenance à un modèle, race, clan, fonction, polarité ou désir que l’on peut entrevoir ce que l’on peut nommer le principe d’altérité, jusqu’à ce temps là, il n’y a pas encore la naissance de l’autre, il n’y a que le moi, l’idéal et ses reflets.

Et il n’y a que lorsque une identité réelle est intégrée au niveau fondamental et qu’il y a donc capacité de la supporter pleinement et d’en reconnaitre les contours qu’il y a possibilité d’offrir la liberté à l’autre d’être aussi pleinement libre de s’intégrer dans son propre espace, alors le besoin de corriger, de réduire, de ramener, de comparer, de moquer, de fantasmer, de commenter, d’obliger à ses propres exigences, morale, désirs, mesures, concepts, pulsions ou habitudes et qu’il réponde – par un rendement positif – à la représentation interne du propre plaisir aléatoire de sa réalité ne domine plus l’individu…

C’est une grande transsubstantiation…

C’est une grande transsubstantiation que le moment de s’aventurer seul sur le chemin de l’affranchissement aux devoirs et aux obligations relativement imposés par les lois de la polarité dans la matière et en même temps ce n’est pas un choix, c’est une potentialité : cela se présente à l’individu.

Oser ne plus ressembler à rien de formel pour se donner la liberté d’être tout. S’offrir la liberté ou l’ouverture d’être simplement; au delà de se rendre satisfaisant, utile ou rentable soit par l’identification à une fonction soit par une réponse automatique à un conditionnement établit par défaut etc…

Cela requiert de traverser la vallée des ombres de la panique et de la peur du rejet et de la mort, de rester droit devant la terreur de ne pas être aimé ou conforme, de traverser la vallée des larmes, soit la purge du corps de souffrance, la désidentification d’avec l’expérience et de rompre avec un ordre établit, d’alléger le poids dans l’âme et le cœur pour lui permettre l’amplitude totale de sa fonction de résonance…

Certains individus ou certaines forces…

Certains individus ou certaines forces électromagnétiques sont capables de capter, de pousser et d’orienter l’énergie d’un groupe à la façon d’un banc de poisson pour le faire aller d’un coté ou de l’autre pour leur seule satisfaction ou soulagement personnel ou pour servir un intérêt précis et de la même façon un groupe est aussi bien capable de se laisser convaincre et conduire inconsciemment sans vraiment de discernement ni force décisionnaire vers une destinée choisie par un tiers.

Attiser la haine est chose facile et souvent ceux qui la supportent ne la méritent guère tout comme ceux qui reçoivent des louanges injustifiées tout autant éloignées du réel : ils sont là comme au bon mauvais moment, au bon mauvais endroit; catalysant, interférant ou entrant en résonance avec certains désirs subjectifs et trajectoires subtiles ou personnelles pour y produire des effets activant certaines mécaniques dans une multidimensionnalité systémique puis récupérées et psychologisées ensuite au niveau humain…

Il arrive fréquemment…

Il arrive fréquemment que lorsqu’un individu ayant purgé une certaine partie de son matériel mémoriel subconscient entre en contact de présence vibratoire avec d’autres individus – que cela soit en verbe ou en chair – que sa lumière vienne comme appuyer via un différentiel fréquentiel sur les engrammes de ceux qui sont chargés magnétiquement, ce qui peut avoir pour effet de déclencher chez eux tout un tas de manifestations perturbatrices et de réactions névrotiques comme par exemple l’expulsion d’insultes via une agitation des craintes ou par une exacerbation de la fantasmagorie imaginative ou par l’extraction de certaines pulsions ordinaires ou encore que ce contact présentiel vibratoire puisse générer des mésinterprétations, des décalages et des imbroglios relationnels en tout genre etc…

Il arrive donc qu’une personne installée dans sa lumière fondamentale ne puisse être perçue objectivement où elle vibre réellement et endosse…

J’ai toujours fonctionné en autodidacte…

J’ai toujours fonctionné en autodidacte et à la manière d’un électron libre, lorsque j’ai investigué chaque domaine et chaque centre d’intérêt spécifique en autonomie, je l’ai fais d’une manière traversante sans apriori mais en restant sceptique et sans attaches, sans jamais m’engager dans un système, me figer dans une posture définitive, sans jamais m’y déposer complètement et lorsque j’ai traversé le milieu de la spiritualité je l’ai fais à la façon d’un électron libre et en traversant le champ de domaine du supramental je l’ai fais aussi comme un électron libre…et c’est comme un électron libre que mon voyage continu…

Depuis ces six derniers mois je suis amenée à prendre du recul sur ce processus et son partage et j’ai de moins en moins l’élan de communiquer ce matériel ici ou ailleurs, je vis toujours une instruction vibratoire mais j’ai de plus en plus le gout de la garder pour moi pour certaines raisons comme sa dangerosité potentielle sur le psychisme humain…

« Toutes les formes, les sons et les couleurs »…

« Toutes les formes, les sons et les couleurs avec lesquels seront établies des relations par un lien de sympathie émotionnelle consenti par des niveaux d’identifications en la croyance de leur propre réalité, seront utilisés par ce monde comme un matériel vibratoire et une matière première pour rebâtir par l’architecture du rêve passé, la nature du rêve de demain »…
C’est la même chose d’adhérer à une version plus qu’à une autre et d’enrichir dans son écran mental une relation d’affinité avec une version favorisée sur une autre et c’est la même mécanique d’assurance pour l’ego psychologique de substituer une version par une autre…
Ce n’est pas parce qu’une version semble déstabiliser ou déplaire à certains égos psychologiques qu’elle n’est pas plaisante pour d’autres et également un matériaux pour rebâtir des niveaux d’affinités avec le concept et la formalisation.
C’est la même mécanique qui a lieu!
Cela ne peut pas être intégré tant que la personne ne fait pas elle même l’expérience du vide mental…

Un Homme qui sait…

Un Homme qui sait se maintenir centriquement et suffisamment en équilibre dans son réel immédiat n’a pas besoin de détruire la forme de la psychologie de l’autre, il n’en a pas le besoin et par information, il n’en a pas la vibration.

L’Homme infusé par les plans de l’intelligence via sa conscience intégralisée ne détruit donc pas à proprement parler la psychologie mais intègre du réel et c’est l’infusion luminale du réel qui a pour effet de déclencher la mise en obsolescence de la psychologie, il vit alors une substitution intégrative évolutive qui lui permet par un effondrement intérieur de sa psychologie relative de ne plus s’assujettir à la destruction pour vivre de la création et donc créativement de sa créativité stabilisée et en harmonique avec un environnemental et fondamentalement c’est en n’étant donc plus un être influencé et régit mécaniquement et magnétiquement par la morphopsychologie mémorielle de la race mais devenu autonome dans sa propre lumière…