Publications par Aurélia

Ce que l’autre ex-prime…

Ce que l’autre ex-prime par une dynamique de force projetée vers l’extérieur de lui même peut être observé, étudié ou contourné avec une lucidité désengagée émotivement sans pour autant être absorbé dans une dynamique de réceptivité par l’auditeur ou le spectateur qui reçoit cette information.

En ce sens aucune information extérieure n’est ni profitable ou néfaste en tant que telle mais c’est par l’activation du mécanisme de la croyance ou de la réactivité émotionnelle* à une parole quelconque véhiculée par l’expression d’autrui que le sujet se corrompt lui même par auto-consentement passif d’avec une dynamique réceptive et réactive décalée, inappropriée ou naïve.

L’auditeur ou le spectateur se corrompt alors lui même à réagir par absorption sympathique avec du matériel non ajusté, coloré, magnétisé par double subjectivité ou inutile pour sa propre instruction…

Addiction aux émotions fortes…

Compulsion expérientielle de l’âme planétaire. La conscience corporelle fonctionne sur la réponse de satisfaction immédiate c’est à dire que la genèse corporelle va privilégier majoritairement la satisfaction stimulatoire intensive au niveau de la réponse sensorielle des sens physiques, le corps est donc porté et enclin biologiquement, chimiquement et hormonalement à tendre vers une sensation de satisfaction le mettant dans une certaine vibration euphorisante d’excitation considérée comme favorable par ses marqueurs sensitifs.

La conscience corporelle va donc rechercher dans la matière mais aussi sur des plans plus subtils une certaine sorte de carburant, une nourriture énergétique qui va représenter une force de stimulation surmobilisante qui va sensoriellement englober et submerger l’espace sensitif pour le colorer et le mettre en vibration…

Il y a une nuance…

Il y a une nuance entre rejeter activement quelque chose et ne pas y adhérer subtilement.

Ne pas y adhérer d’une manière subtile c’est ne pas créer ni entretenir entre un objet, un sujet ou une forme un pont par un lien de sympathie émotionnelle subtile.

C’est n’entretenir avec cette chose, ce sujet ou cette forme aucun rapport d’attraction ni de répulsion.

C’est n’avoir à disposition aucun élan d’énergie pour établir une réaction vibratoire et intentionnelle formalisée par des affects émotionnels positifs ou négatifs envers cet objet, ce sujet ou cette forme.

C’est ne plus en absorber l’effet ou le choc par absorption instantanée collatérale interactive.

Que cet objet, ce sujet ou cette forme soit un champ de force interceptée et neutralisée par une force de lucidité priorisant une transparence immédiate ne permettant plus l’impression polarisée par la prégnance du champ émotionnel personnel…

Un jour, réaliser réellement…

Un jour, réaliser réellement le « ne pas croire » va s’auto-ajuster en l’Homme.
Et ne pas croire c’est ne pas croire. C’est ne rien croire.
C’est ne pas se laisser atomiquement corrompre ni posséder par l’énergie de la croyance. C’est une dés-émotivation totale dans la conscience et dans le mental de tout désir de croire, c’est laisser s’écrouler sans l’alimenter toute motion vers la croyance et laisser se démotiver toute énergie actionnée par et pour le sujet de la croyance. C’est reprendre et renvoyer vers soi toute l’énergie déposée dans le phénomène de la croyance.
C’est être capable de passer par une petite mort d’un système que l’on appelait le système de croyance de la personnalité psychologique. Et cette descente ou plutôt cette émergence de l’intelligence au centre et en immersion dans un espace de vide créatif nouveau mais su atomiquement parlant…

La croyance ne me rassure plus…

La croyance ne me rassure plus. La croyance me crée de la fatigue. La croyance m’alourdis lorsque je l’actionne ou je la reçois et lorsque j’entends quelque chose ou je lis quelque chose qui fait vibrer le corps astral.
Je n’ai plus de satisfaction à nourrir l’espace mental par de la croyance.
Je n’ai plus de plaisir à nourrir l’espace émotionnel avec de la croyance.
La croyance ne me procure plus de sentiment de sécurité.
La croyance me fait ressentir du dégout.
Un « non c’est pas ça! » vibre atomiquement et cellulairement intérieurement et me fait la rejeter spontanément.
Par une perception de sa vanité dans son caractère vain et dans son caractère qui nourri l’orgueil de la connaissance.Comme l’on peut collectionner des objets, la croyance c’est une collection de formes pour remplir une bibliothèque, une base de données au champ informationnel erroné…

Carnet de bord d’immersion du moment…

La descente de la vibration au niveau corporel. La redescente du surmental jusqu’à l’Humain intégral incarné…

Après ce que l’on pourrait appeler le « gavage » de l’intelligence où la conscience va être infusée en permanence d’explications et où l’Homme va être poussé éthériquement par sa force d’esprit à absorber de l’intelligence, à ranger pour mettre de l’ordre, à nommer, à discerner viennent par étapes des paliers ou des espaces – des inter-espaces – des zones blanches ou ne s’exerce plus aucun désir ou pression de mettre en forme ou de développer des niveaux d’affectivité ou de bricoler quelconque entreprise énergétique et même énergivore pour tenter de rebâtir intérieurement un paysage de réalité ou de tenter de le comprendre.

Le mental tourne lent, la colère rouge devient une colère blanche, une colère sourde, éteinte par un non élan…

L’Homme ne doit pas spiritualiser la matière…

Pourquoi les esprits ont ils le besoin de passer par des êtres incarnés pour agir sur la matière? Car ces esprits qui ne sont pas incarnés ont besoin d’un être qui est dans un corps physique avec un corps astral et qui possède un corps mental pour exercer leur volonté pour agir depuis le plan astral ou de l’éther dans la matière!

Pourquoi vont ils mettre l’Homme dans une certaine ambiance de dilution de sa structure identitaire? Pour que cet Homme soit tel un buvard face à l’invisible et aux mondes subtils et afin de transférer leur désir ou leur volonté désincarnée et l’ancrer dans la matière à travers le corps physique de l’Homme inconscient!

Pourquoi l’ego spirituel est une gangrène pour l’objectivité et l’intelligence? Car un Homme qui est spiritualisé va être dans la transposition des plans, l’inversion systématique des niveaux logiques qui ordonnent ces plans de réalités…

Le mythe de la caverne de l’innocence de l’enfant roi…

Question : N’y a t il pas une énergie considérable dans la pureté et l’innocence de l’enfant?

L’enfant traverse ce que l’on peut nommer un stade d’immaturité et de construction identitaire où il est jusqu’à un certain âge uniquement plongé dans le corps astral et directement magnétisé par le plan de la conscience collective terrestre ce qui l’immerge dans le monde de l’âme alors ce n’est pas tellement qu’il soit dans la pureté et l’innocence ça c’est un point de vue subjectif orienté par le dogme spirituel et conditionné par la psychologie de l’adulte par un aspect de lui dont il garde la nostalgie via la mémoire d’une blessure de séparation colorée par l’expérimental de l’âme terrestre.

La mémoire réelle du noyau d’âme originel est surcouchée par la mémoire de l’astral unifié ce qui induit par conséquence…

Le principe spirituel dévoyé de l’amour astral…

Pourquoi l’Homme en voie de conscientisation devra à un moment se détacher naturellement de la notion astralisée de l’amour planétaire?

Tout simplement car le centre du cœur vibratoire de l’Homme n’est pas un centre de nature émotionnelle, ni un corps astral ni un cœur égotique coloré – cela n’est rien de tout ça – c’est autre chose de plus fonctionnel : c’est un organe incommensurablement vibratoire de traitement et de gestion de la lumière afin qu’elle puisse être utilisée créativement et de manière autonome sur le plan de la matière et cela fonctionne comme une caisse de résonance, un accumulateur d’énergie électrique capable de fournir l’énergie nécessaire pour la manifestation du plan imaginal depuis le plan mental éthérique de l’Homme esprit jusqu’au plan matériel…

Le retour vibratoire de l’Homme réel…

L’esprit est pré personnel et n’est pas incarné et donc n’a pas la sensorialité et l’intelligence corporelle vibratoire qui lui permette de sentir ce que représente l’expérience du corps biologique, d’un ego et d’une mémoire d’âme planétaire donc il ne peut pas le vibrer atomiquement, cellulairement et l’intégrer sans la présence de l’Homme donc c’est ensuite à l’Homme de l’éduquer à son tour à intégrer l’information vibratoire de son plan et à savoir ce que cela représente d’y exister et l’inconfort et la souffrance que cela peut représenter pour l’individu.

L’Homme ainsi doit pouvoir fixer une limite à cette souffrance pour vivre bien dans sa matière.

Un canal n’a qu’une seule ouverture et si l’esprit peut infuser en un sens une certaine quantité de lumière, de volonté et d’intelligence alors un retour informatif est tout à fait envisageable par l’Homme…