Il arrive fréquemment que lorsqu’un individu ayant purgé une certaine partie de son matériel mémoriel subconscient entre en contact de présence vibratoire avec d’autres individus – que cela soit en verbe ou en chair – que sa lumière vienne comme appuyer via un différentiel fréquentiel sur les engrammes de ceux qui sont chargés magnétiquement, ce qui peut avoir pour effet de déclencher chez eux tout un tas de manifestations perturbatrices et de réactions névrotiques comme par exemple l’expulsion d’insultes via une agitation des craintes et de l’agressivité irrationnelle ou par une exacerbation de la fantasmagorie imaginative ou par l’extraction de certaines pulsions ordinaires ou encore que ce contact présentiel vibratoire puisse générer des mésinterprétations, des décalages et des imbroglios relationnels en tout genre etc…
Il arrive donc qu’une personne installée dans sa lumière fondamentale ne puisse être perçue objectivement où elle vibre réellement et endosse ponctuellement en quelque sorte le rôle du démon et de l’adversaire à travers la subjectivité de l’autre et la corruption installée entre son regard et sa propre lumière afin qu’il puisse vidanger de la mémoire et intégrer consciemment certains principes par l’impact du choc collusoire frontal expérimental.
C’est de ce phénomène qu’il est question lorsque je fais référence à la dynamisation des névroses et des formes dans le mental via de la lumière électrique plasmique non digestible ou encore insuffisamment traversante par des corps lourds, non alignés et sous apurés pour pouvoir la supporter intégralement sans fragmentation, compensation ni projection psychologique.
Ainsi consommer une vibration systémique vibrant à une certaine fréquence sans que les corps soient intrinsèquement préparés via l’amorce d’un mouvement interne évolutif peut génèrer chez le non initié une potentialité de dégât et du décalage probable à l’intérieur de ses structures subtiles et nerveuses, ce qui a pour conséquence et effet collatéral une non maitrise de son énergie vitale dynamisée qui devient alors chaotique, ce qui le conduit à rechercher un biais de soulagement de la pression interne par la projection de son matériel limbique subconscient sur-stimulé vers l’extérieur de sa personne.
Ce qui peut conduire certains à développer notamment des accents psychotiques ou des tendances paranoïaques par la consommation à contre temps d’un matériel vibratoire « supramental » non encore ajusté atomiquement à leur fréquence et à la réelle capacité de leur corps subtils et de leurs cellules à pouvoir vibrer en amplitude et s’accorder par syntonisation harmonique de façon à s’y établir en centricité par un cheminement rayonnant traversant pour traiter intelligemment avec la lumière de façon équilibrée et apolarisée.
À cause de cette harmonisation interne subtile insuffisante ou non fonctionnelle, il ne peuvent donc pas mécaniquement prendre et gérer la lumière dynamique fondamentale car il ne sont pas encore en mesure d’alignement de leurs différents corps subtils, alors l’énergie saturant leur système d’une manière désagréable s’exprime en incohérence et en dissonance générant un réflexe mécanique de diffraction stimulant les névroses et la dualité intérieure car l’individu ne peut encore se solutionner lui même par de l’intra et de l’infra perspective lucide et trouver une issue congruente et correcte pour évacuer l’énergie viciée et saturée des mémoires animiques dans ses différents corps.
Ce qui fait que plus un individu devient transparent plus il est susceptible mécaniquement via le dynamisme de sa fréquence d’être indigestible et irrecevable ou imperceptible ou même incompréhensible ou insupportable pour d’autres en venant soulever par simple contact vibratoire d’une manière choquante leur matériel subconscient et cela jusqu’à que leur structure n’y réponde plus par la réaction psycho-émotive via une apuration des engrammes, une intégration objective de leur lumière et une compréhension interne directe et consciente des mécaniques vibratoires derrière les formes.