Il y a une nuance entre rejeter activement quelque chose et ne pas y adhérer subtilement.
Ne pas y adhérer d’une manière subtile c’est ne pas créer ni entretenir entre un objet, un sujet ou une forme un pont par un lien de sympathie émotionnelle subtile.
C’est n’entretenir avec cette chose, ce sujet ou cette forme aucun rapport d’attraction ni de répulsion.
C’est n’avoir à disposition aucun élan d’énergie pour établir une réaction vibratoire et intentionnelle formalisée par des affects émotionnels positifs ou négatifs envers cet objet, ce sujet ou cette forme.
C’est ne plus en absorber l’effet ou le choc par absorption instantanée collatérale interactive.
Que cet objet, ce sujet ou cette forme soit un champ de force interceptée et neutralisée par une force de lucidité priorisant une transparence immédiate ne permettant plus l’impression polarisée par la prégnance du champ émotionnel personnel.
C’est n’entretenir activement aucun état sympathique et ne subir aucune impression ni corruption subjective d’avec l’objet, le sujet ou la forme.
C’est ne pas vivre les conséquences d’une adhérence entre un système et un phénomène sans besoin de le rejeter ou d’y faire une opposition directe ou de résister énergétiquement à sa pression sur l’épiderme émotionnel par la croyance de son action effective.
C’est à contrario ne pas croire et ne pas entretenir subtilement ou activement de lien polarisé donc de consentement inconscient envers l’effet projeté et présumé d’un objet, d’un sujet ou d’une forme particularisée.
C’est trancher les capillaires permettant un état de tension et une transfusion subtile entre deux circuits inconsciemment codépendants.
L’objet, le sujet ou la forme ne peuvent rien faire ou exercer en tant que tels sur la personne qui ne développe pas de niveau d’affectivité polarisé envers cet objet, ce sujet ou cette forme car aucun canal de transfert informatif subtil entre ces systèmes et leur phénomènes relativement interdépendants n’est effectif sans sa participation même occulte.
L’observation objective des forces, des phénomènes et des vibrations résonnantes et passantes à travers les objets, les sujets ou les formes permet de dire que c’est en ayant supprimé tout désir ou compulsion d’adhérences par des niveaux de sympathies entre des objets, des sujets ou des formes que disparait la possibilité d’une corruption ou de coloration subjective par réaction à l’interprétation psychologique polarisée des objets, des sujets ou des formes.
La croyance est une forme de sympathie vibratoire par mouvement d’adhérence à un phénomène par conceptualisation et subjectivisation de son effet.
La croyance fait office de consentement à un effet présumé et donc est susceptible d’en manifester une forme astrale subjectivisée.
En scission sympathique l’énergie employée pour l’attraction, le rejet et l’aversion ne sera plus mobilisée pour nourrir émotivement ou pour protéger le plexus solaire par le ressenti d’un indicateur de joie ou de dégout.
Par leur mise en lumière directe les liens sympathiques subtils sont apurés et dissous d’avec les objets, les sujets ou les formes.
L’énergie libérée du gardiennage et de l’auto discipline de protection pourra être à nouveau disponible créativement pour l’Homme dont l’identité réelle aura été dégagée de toute confusion par un mouvement d’adhérence sympathique à l’empreinte d’un mémoriel astralo-karmique résurgent par des objets, des sujets ou des formes.
La dissolution de la croyance envers leur emprise psychique elle même servira de frontière naturelle impénétrable imposant le respect par rayonnement vibratoire lucide dépolarisé instantané.
Le champ subtil de la personne dans son identité réelle se situera sur un autre plan psychique qui n’entrera plus en résonance sympathique vibratoire avec du matériel stimulatoire planétaire polarisé.
La personne réelle ne sera plus affectée par impression et par corruption ou coloration subjectivisée par le réflexe de réaction maintenant un rapport de tension électromagnétique avec l’objet, le sujet ou la forme.
Cela signera la fin de la stimulation polarisée automatique sur le derme émotionnel et sa psychologie relative limitant l’être à l’expression motorisée inconsciente et souvent souffrante des programmations animiques.
La personne réelle dégagée des liens dissonants mémoriels entrera dans une relation non plus de sympathie avec son environnement mais de communication lucide et consciente égalitaire et créative avec les plans de l’intelligence.
Cette intelligence supérieure ne fera plus impression sur sa conscience mais permettra à l’Homme d’exercer sans fascination et dans sa centricité sa créativité en stimulant sa lucidité, son autonomie par la propre force de son esprit.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs. Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral. Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte. Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle.