La naïveté chez l’Homme inconscient est un véritable fond de commerce et d’investissement pour les forces astrales et occultes.
Cette forme de naïveté nourrissant espoir, ignorance et dépendance à l’excitation et la croyance fait tout particulièrement le lit d’un éternel recommencement, d’une persistance du mémoriel et d’un manque d’actualisation de l’intelligence en l’Homme.
Cette naïveté fondamentale est d’ailleurs souvent la résultante d’un fort niveau d’astralisation général et d’une très forte induction magnétique par une sur-stimulation et surproduction d’émotivité faisant impression sur le centre du cœur ego.
C’est aussi principalement le siège de l’engramme spirituel et de l’orgueil donc de toutes les formes de croyances – sans remise en cause – allant de la simple foi en passant par la fantaisie imaginaire ou la fantasmagorie et en allant jusqu’à l’adoration aveugle ou sectaire.
Cette capacité à absorber et croire sans pousser l’analyse d’observation plus loin est une forme de contamination du réel par des affects personnels subjectifs ou collectifs, une forme d’auto hypnose ou d’induction et de prépondérance de l’imaginaire par la corruption d’un voile, mis au rang de décisionnaire et priorisant l’apparence et sa satisfaction immédiate – par la passion animique et la motion émotionnelle – sur la qualité d’intelligence d’esprit.
Cette capacité à ignorer les faits et les vibrations au profit des symbolismes ou à nier les évidences pour les faire correspondre à un idéal sacralisé pré imprimé ou pour maintenir une certaine genèse d’illusion ou de forme de croyance par l’influence des mouvements oscillatoires magnétiques du corps de désir est une des grandes causes de l’enrayement du comportement dans des cercles vicieux dont il est très difficile voire impossible de sortir sans lucidité.
Il y a une naïveté fondamentale chez l’Homme ou du moins il est très fortement sensibilisé dans l’établissement de son caractère à la croyance – il y est porté – ainsi l’élan de croyance sous tend la psychologie de l’Homme inconscient comme un bouchon servirait de cale sous un pied de table, elle permet de maintenir fragilement une forme illusoire et superficielle de droiture en compensant un vide – celui de la présence de son esprit – mais c’est une forme de cache misère et une mauvaise réponse à une problématique non réelle puisque il manque une composante à l’équation et un ajustement adapté pour que la table soit droite.
C’est donc remplir par un mouvement transitoire la non présence de l’Homme conscient en l’Homme inconscient en créant un subterfuge, une forme de synthétisation et de substitution par une abstraction distrayante, occupant un vide primordial. Un trompe couillon! Éloignant l’Homme inconscient de la problématique réelle de la nécessité fondamentale de la reconquête de son autonomie intérieure.
La croyance agit toujours comme une charge magnétique venant palier à une angoisse ou compenser un manque, fédérer ou dénier un doute par son antithèse, agissant comme un pansement venant souder ensemble des paradoxes parapsychologiques inconcevables pour le mental Humain, il est ainsi obligé pour maintenir sa psychologie en place de venir faire coller entre eux – par une glu émotionnelle et des bricolages – des notions ou des principes concomitants ou coexistants sur un même plan pour fédérer manuellement ou mécaniquement une multidimensionnalité impossible à supporter car beaucoup trop subtile pour son intellect.
Il va ainsi réifier des champs d’énergies informels pour en faire des agrégats de formes – grossières – et des dogmes pour y établir des lois spirituelles subjectivement arbitraires, souvent en reprenant de très vieux principes ésotériques et magnétiques donc véhiculant une certaine astralité…certaine par la qualité mortifère et stagnante de sa mémoire viciée, remise constamment en eau et au gout du jour mais gardant la même fréquence vibratoire.
La croyance est donc la permission passionnelle que l’Homme inconscient s’octroie personnellement pour se permettre – par la cristallisation du phénomène – de répondre partiellement d’une manière incertaine et insuffisante à une fausse question, une question non réelle puisque sans objectivité et l’intelligence de son esprit, la réponse ne peut point le libérer de l’empreinte de la forme et survenir directement d’une manière fulgurante en lui même…
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle.