L’Homme qui cherche à comprendre par le savoir connaissant, mu inconsciemment par les mécanismes de la peur tente encore de sécuriser l’ego et de renforcer ses structures psycho-émotionnelles pour parer à l’éventualité de l’ignorance de la donnée inconnue et s’y enferre à la réalité de l’impuissance non créative, il s’y confirme une ignorance retardataire par une transe de la mesure, de collectionner et d’imbriquer ou d’isoler des morceaux de séquences fragmentées ou distordues d’énergies en mouvement figées et réifiées par un mode de formalisation intellectuelle conditionnée non perspectivée par de l’objectivité.
L’Homme qui souhaite être médium et détenir du savoir personnel ne sait pas et c’est parce qu’il ne sait pas qu’il ne saura rien de ce qu’il sait réellement car les mécaniques de l’orgueil personnel devront être au préalablement remplacées par une mécanique de transparence non psycho-émotionnalisée par l’instinct de conservation lié aux forces animalienne animiques encore imprimées sous la forme d’une distorsion psycho-mémorielle dans le mental et vibrant à des degrés magnétiques lourds dans le corps de matière, l’empêchant d’entrer en communication vibratoire immédiate avec sa source luminale fondamentale.
Celui qui recherche via le mouvement de l’inquiétude anthropomorphisée de ne pas trouver ou comprendre ne trouvera que des ombres et l’illusion de ses dernières faisant barrage, reflet et impression dans le regard en le conditionnant encore à croire et ne comprendra pas par perception directe, sensiblement et vibratoirement ce qui a lieu.
C’est l’intelligence de la lumière qui viendra dans un temps à l’Homme capable de la recevoir cellulairement par une souplesse de son matériel atomique capable de vibrer à des fréquences luminiques supérieures afin de l’entrainer de façon spontanée vers une mécanique vitalisante évolutive mais rien ne se fera par l’intranquilité dévorante de l’ego psychologique de l’Homme inconscient encore captivé par son expérience phénoménale subjective via un combat intra polarisé projeté sur l’extérieur de lui même.
Seul le détachement vibratoire des engrammes réflectifs substitutifs à son intelligence vibratoire réelle permettra à l’individu un réel détachement psycho-émotionnel et remettra l’Homme en voie de conscientisation sur le courant de son évolution créative et donc en relation directe avec une conscience vibratoire atemporelle et donc apolarisée.
Il n’y a que celui qui ne se maitrise pas lui même qui recherche le contrôle.
Aucune connaissance ou savoir extérieur ne sera susceptible d’activer l’électrification cellulaire fondamentalement chez un individu mais seule une plasticité de la cellule, encore capable de dynamisme vibrationnel lui permettra de recevoir la qualité d’éther vitalisant et de vide nécessaire au processus amorçant la fusion soit par l’écrasement de la surcouche d’une génèse mémorielle animique planétaire limitant l’Homme à l’expression de l’impression d’une vision subjective linéaire rationalo-polarisée à la logique unidimensionnelle.
L’infusion luminale est une mécanique interne vibra-cellulaire espritique qui n’a rien à voir avec le désir personnel.
Tout le reste c’est de la philosophie, de la pensée ritualo-magique, de l’intentionnalité désireuse surmentalement sublimée donc de la spiritualisation et de la décoration subjective, de l’impression ou de la distraction relative pour l’ego psychologique encore fasciné par lui même dans une auto centricité individuellement narcissique encore non neutralement centrique par crainte du renouveau sans comparaison de l’individuation.
À ce stade cela n’a rien à voir encore avec de la volonté!
Ce que l’on nomme le principe de volonté est lié à l’intégration vibratoire atomique de l’intelligence donc d’une vibration pré-personnelle capable d’entrer en syntonisation dynamique d’avec la cellule pour l’infuser d’une lumière informative en transparence et lui permettant une bascule vers un système encore nouveau pour l’Homme via le développement d’un cerveau éthérique capable de traduire et de décoder le signal de la lumière instantanément en langage fulgurant, élaboré et cohérent et permettant d’organiser, de prioriser et d’ordiner le réel dans son environnement immédiat afin d’y développer une relation de communication consciente, équilibrée en lui même, avec l’autre et avec les plans de l’intelligence.
Tant que l’Homme ne pourra pas reconnaitre objectivement le coté pré-personnel de ce processus vibratoire amorçant la supraconscience, il restera assujetti à la mécanique astralo-formelle mémorielle et attaché impitoyablement aux causes et aux effets psycho-émotivés des images par une mécanique animique expérimentale l’éloignant de son intégralité multidimensionnelle, de son savoir, de son discernement et donc du réel.
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