S’il faut faire piquer tout le monde pour qu’une protection fonctionne, un minimum d’observation et de bon sens révèle simplement que l’anticorps en question ne fonctionne pas et ne fait pas son travail et pourquoi ou plutôt comment ne fait il pas le travail et l’effet qu’il est sensé produire dans ce cas précis?
C’est parce que ce qu’il est sensé faire ici n’est pas de cette nature ci mais bien d’une autre et poursuit un autre dessein que la protection pour laquelle il semble en apparence être employé.
Et donc que le problème ici n’est pas l’individu – avec un minimum de conscience – qui résiste par intuition à quelque chose qui va contre lui mais le produit chimique lui même qui n’a rien d’une protection mais se sert de l’idée de la protection comme d’un écran de fumée pour masquer qu’il est en réalité une création de quelque chose d’autre, d’une volonté parallèle qui n’a rien à voire avec la problématique – créée elle même – mais se sert de la problématique comme d’un cheval de Troie et d’un pont pour faire passer quelque chose d’occulte sous la forme de quelque chose qui semble être une réponse positive à un problème négatif posé.
Le réel problème est la création d’un terrain qui appelle en l’Homme des forces sombres qui sont contre l’intelligence et qui poussent – parce que ces entités là sont très connaisseuses des failles de l’Homme – à choisir sous la pression émotive et dans des mécanismes de survie passifs et non créatifs toujours des contre-solutions qui sont contre lui même, par ignorance.
Si ces failles là n’étaient pas exploitées et présentes en l’Homme ce genre de situation n’aurait aucune possibilité d’existence, cette ligne de temps serait automatiquement balayée par la conscience du plus grand nombre et subirait sens critique et opposition systématique de la part du peuple qui se solidariserait en ce sens pour l’annuler co-productivement.
Mais l’Homme est toujours et encore dans ce dilemme là qui est de céder – sous l’égide des forces d’ingérences astrales et involutives – à sa mémoire donc de reproduire l’histoire ou bien de développer son autonomie par son propre esprit pour choisir son présent; ce qui implique d’allumer son propre feu intérieur et de développer du sens critique et un discernement pour aller dans le sens de l’intelligence et donc contre les forces descendantes qui le coupent de l’intelligence systémique universelle.
Ce qui veut dire commencer par marquer une force d’opposition créative à tout ce qui d’une manière ou d’une autre l’assujétie donc aussi face aux gouvernements et aux lois matérielles qui sont contre l’Humain et contre la vie; non pas par égocentrisme mais dans une centricité solidaire envers tous les êtres qui voudraient pouvoir employer correctement leur intelligence créative dans la matière et employer le principe de Liberté comme un droit Humain fondamental, accessible à tous et valable en ce sens et comme un outil d’expansion et d’extension de l’esprit dans la matière pour contribuer à son évolution naturelle.
Si l’Homme veut réellement sortir de l’ingérence involutive, il devra s’opposer à ce qu’il a toujours connu dans sa mémoire; ce qui signifie casser la forme de sa base de donnée référentielle, casser les dogmes qui le limitent dans le contact avec son esprit supérieur y comprit son idée modélisée du monde spirituel et du but spirituel, de la tradition, de la croyance et de l’ambition spirituelle egoïque pour rencontrer la réalité du monde de l’invisible et aller activement vers le développement d’une nouvelle base de savoir réel qui n’est pas encore accessible au pré-Humain et qui prend sa source dans les courants de la conscience universelle non cristallisée par la forme imprimée actuellement sur le mental de l’Homme adamique.
Pour se libérer et casser ces plafonds de verre entre l’Homme et son savoir universel, il faudra brûler les programmes et les impressions de formes pour libérer la réelle puissance de l’esprit sur la matière, ouvrant les courants évolutifs à l’Homme par des nouvelles lignes de temps dont il était privé jusqu’alors et qui seront rendues maintenant possibles et accessibles à lui grâce à sa nouvelle volonté supérieure.
Mais cela veut dire qu’il faudra en premier lieu sortir de la limitation de la conscience astralisée et de la morphogenèse de l’Humain adamique pour renouer avec le flux de la conscience cosmique universelle.
Pour cela il faudra établir une rupture en l’Homme avec l’Homme traditionnel de croyance pour aller vers l’Homme réel nouveau ce qui passera par la libération de la charge émotionnelle cristallisée dans le mouvement animique de l’Homme et chargée du processus d’expérience et d’incarnation.
Lorsqu’il sera allégé, apuré et libéré du poids de son âme courbant sa créativité dans la contre-production, l’expérience compulsive conditionnée et l’involution il amorcera son processus évolutif en se mettant en contact avec une qualité de savoir plus fin et ne dépendant d’aucune forme.
On pourra dire à ce moment là que l’Homme aura commencé à fusionner avec son propre esprit et ne sera plus dépendant d’autres esprits qu’ils soient supérieurs, intermédiaires ou sur des plans intermédiaires, inférieurs, d’autres ou de moindre vibration qui dénaturent sa réelle identité, puissance et intelligence à son insu.
L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle