La sacralisation et la désacralisation c’est un seul et même mouvement lié à la conservation mémorielle de l’inconscience. Le sacré et le profane c’est de la polarité, c’est la même chose!
Il n’y a aucune raison réellement valable au sens de viablement conscient et intelligent de sacraliser le phénoménal ou le nouménal, d’adorer ou de haïr.
Ce sont des polarités dans le mental qui créent ces deux tendances formalisées par une incapacité à les invalider instantanément par de la neutralité objective à cause de l’absence d’information permettant de recevoir vibratoirement du matériel lucide par une conscience intégralement dynamique.
L’Homme inconscient vit un décalage avec les forces et a besoin de sacraliser ou de rejeter ce que subtilement il ne comprend pas : parce qu’il ne le comprend pas, il ne se sait pas et interprète parce qu’il n’est pas encore en capacité de s’intégrer dans son intelligence et de se savoir réellement dans sa propre lumière, dans le sens d’être capable de la recevoir et de la vivre créativement en transparence, alors il va par une activité compensatoire via des mécaniques inconscientes et compulsivement la sacraliser par projection et externalisation puis ensuite la désacraliser, il va se situer et s’auto-évaluer subjectivement d’une façon biaisée par la réflexion de forces extériorisées et ré-entétisées dans son mental par manque de centricité et d’individuation…
Alors il va vivre d’illusion en désillusion par accroche émotive d’avec les formes et les phénomènes subjectivisés et anthropomorphisés.
Mais si un jour l’Homme s’intègre avec stabilité dans son intelligence intégrale, il sera capable de regarder l’énergie en face et objectivement pour ce qu’elle est et cela ne lui fera ni chaud ni froid car il verra que sa tendance à la polarisation, à la séparation et à la récupération liée à l’individualisation retardataire identitaire – par compensation d’une individuation réelle faisant défaut – fait partie des distorsions mortes et stagnantes dans son mental corrompu par des forces magnétiques le limitant par un voile d’obscurantisme dans l’intégration du mouvement luminal dynamique d’intra et d’infra perspective.
Et si un jour il y parvient réellement alors son élan de mystification positiviste ou négative ne représentera plus un besoin ou un obstacle pour lui car son désir sera remplacé par de la perception objective pré-personnelle immédiate, ces deux élans polarisés lui seront alors spontanément retirés par l’éclairage objectif d’une conscience lucide intégralisée.
Il ne vivra alors plus aucune sympathie d’avec une tendance de hiérarchisation ni d’accoutumance à la division entre sacré et profane générant une perte d’énergie vitale. Ni de déchirement électro-magnétique entre sentiment de supériorité ou d’infériorité car il sera totalement intégré dans sa lumière et équilibré en lui même.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Intemporelle.