La vérité n’est pas le réel, la vérité est la polarité positive du mensonge, donc une restauration imparfaite de ce qui est volontairement et parfaitement déformé, le mensonge étant une distorsion du champ ondulatoire d’un niveau de réalité.
La dualité n’est donc pas une loi mais un principe agissant et régissant la modulation des ombres de la très basse dimensionnalité, pour la simple raison que la lumière n’a pas d’ombre.
Ce sont des formes qui obstruent la lumière par effet de diffraction qui créent des ombres, car les formes exposées à la lumière rayonnante ont la propriété de projeter des ombres derrière elles.
Et c’est très simple à comprendre : plus la vibration est basse, plus la conscience intégrale subi de fragmentation, plus elle est fragmentée et plus se produit de la forme et plus se produisent des formes, plus se produit une multitude d’ombres et de reflets, plus l’illusion est grande et plus le décalage avec le réel augmente.
Plus l’on descend donc dans un niveau de matérialité, plus la conscience de l’esprit est altérée et dénaturée et plus elle devient phénoménale par la descente de sa vibration, alors les formes d’existences s’externalisent de la source fondamentale pour se représenter sous différentes modulations d’ombres et de reflets tous diffractés de sa lumière primordiale.
Le concept d’ombre et de lumière ainsi représentant deux formes complémentaires – créant par leur réunion une forme d’harmonie – est un concept spirituel qui représente le principe duel employé pour la construction de ce monde matriciel – à l’image du symbole du tao – qui impose comme toute géométrie variable employée ici, une certaine mécanique énergétique qui par effets d’ondes de formes magnétiques, induisent certains phénomènes à se produire sous certaines conditions, ces phénomènes sont régis par des principes de forces dites « lucifériennes » de par leur propriété de produire une lumière de qualité réflective phénoménale, une lumière qui n’est donc pas une lumière centrique rayonnante mais qui se sert du rayonnement de la lumière blanche centrique et rayonnante pour briller via son reflet. C’est pour cela qu’ici tout s’exprime selon des principes duels et de complémentarité à cause de l’état fragmenté de ces consciences qui traduisent leur manque d’intelligence et d’intégralité jusque dans la trame de leur « création » ou plutôt de « synthétisation » formative.
Tout ce qui brille n’est pas or…
Toutes les figures géométriques sacralisés par l’Homme inconscient sont ainsi sous-tendues par les mêmes mathématiques et les mêmes codes géométriques employés et inspirés des codes de création originels mais falsifiés et scellés par une structure magnétique et une grille cristalline cubique non centrique, donc dont l’énergie dispersée et chaotique ne revient pas au point zéro par le centre mais tourne en boucle en circuit fermé et se reproduit fractalement sous une courbure spatio-temporelle, coupée de l’intelligence des plans universels.
Alors ici vous serez rapidement et impitoyablement très insatisfait et déçus dans votre quête de vérité et si vous y établissez demeure par transe et persistance, car il y réside toujours un mélange subtil de vérité et de mensonge, ces deux états – étant tous deux des altérations du réel – baignant l’un dans l’autre et l’un contre l’autre, au point tel où il est très difficile de les discerner.
Ce qui est vrai est donc aussi faux selon l’inclinaison.
Ce qui est différent du réel objectif qui reste réel sous n’importe quelle perspective. Et la subjectivité est ce qui a lieu tout particulièrement avec les reflets car selon où se situe l’objet qui obstrue la source lumineuse et la posture où l’observateur se trouve, la perception est majoritairement modifiée.
La lumière ne produit donc pas de formes mais ce sont les formes qui produisent des ombres. Ici demeure le monde de la forme ne produisant que de l’ombre et de la pénombre plus ou moins lumineuse par des reflets…
Lorsque la lumière blanche traverse un diamant et donc une forme dotée d’un très haut niveau de transparence, sa qualité de dispersion élevée entraîne une séparation de la lumière en différentes couleurs, c’est ce que l’on nomme un prisme de dispersion qui a donc la propriété de séparer la lumière blanche rayonnante en un spectre de couleurs.
Ainsi une structure carbonée métabolisée dans son état le plus haut de transparence, produira un prisme de lumière contenant toutes les couleurs du spectre lumineux, à partir de la lumière blanche.
L’Homme transfiguré dans sa matière par la combustion de son corps carboné mais toujours régi par la mécanique matricielle aura donc dans un premier temps la même propriété de dispersion que le diamant, il ne produira pas « d’ombre » mais son éclat transparent, exposé à la lumière lui donnera un « feu » coloré, semblable aux iridescences des aurores polaires.
L’Homme conscientisé, fusionné et démagnétisé, non plus régi par la suggestion de pensée ni par le plan mémoriel de son âme vivra, lui, lucide et sans attaches dans sa matière, en translation, en dédoublement et en partenariat avec son double éthérique, lui ouvrant par sa nature pré-personnelle un contact direct avec son esprit.
L’Homme transcendantal, de retour vers sa nature espritique, lui, deviendra par son éthérisation complète totalement immatériel, informel et non réflectif, donc un être plasmique morontiel car telle est la qualité de l’éther espritique. Il deviendra une source de lumière blanche pure produite par un feu vibral de chaleur centrique et rayonnante. Un parfait créateur. Un pur esprit.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.