Pour les personnalités obsessionnelles qui s’imposent :
Il arrive parfois que l’on doive mettre un terme à un échange pour son propre bien en le clôturant mais que cela ne soit jamais intégré et reçu ni respecté par l’autre dans son système à cause de certains mécanismes psychologiques qui l’empêchent d’intégrer un non, une limite ou un refus sainement et de comprendre un principe de consentement, sans crisper et basculer dans une transe obsessionnelle pour tenter de réparer et éviter l’outrage narcissique qui pourrait survenir dans le cas d’un rejet.
La personnalité se fait ainsi violence avec le libre arbitre de l’autre lorsqu’il n’est pas en mesure de répondre positivement à son désir ce qui lui crée une grande souffrance émotionnelle et une impression de manque, d’annihilation d’elle même par le rejet.
Et lorsque une personne ne répond pas à leur désir infantile ou qu’elle représente un défi ou semble difficile à convaincre, ou particulièrement inaccessible ou distante ou qu’elle n’est pas disponible émotionnellement et ne leur procure pas une réelle attention ou sensation de reconnaissance ou d’être aimé, ou de satisfaction ou qu’elle veut même arrêter la relation par une rupture : c’est le point de départ d’un stimulus d’excitation qui va réveiller une pulsion morbide d’addiction à l’adrénaline et à l’émotion forte via les mécanismes de la dépendance affective.
Certaines personnalités ont pour mécanismes de compensations une sorte de fascination face à la résistance, dans une posture oppositionnelle transgressive, c’est une blessure narcissique et non un sentiment qui les poussent à vouloir convaincre l’autre de les voir pour être reconnues et particulièrement choisies par celui ou celle qui ne les invitent pas et alors de s’imposer par la force dans une posture de transgression, d’insistance leur procurant une jouissance honteuse par un mécanisme de perversion qui s’exprime de façon plus ou moins subtile.
De la honte est ressentie dans la jouissance et de la jouissance est ressentie dans la honte. Il y a un mécanisme de masochisme et même de sadisme à l’œuvre. Le plaisir ne peut s’obtenir que lorsqu’il est coupable et gagné sur l’autre et même provoqué et qu’il se fait vainqueur sur le déplaisir et la frustration.
Le sentiment d’impuissance est ainsi vaincu et détourné ponctuellement par un soulagement très temporaire de la tension intérieure mais qui pousse à d’avantage de compulsion et à un cercle vicieux à cause du décalage avec le réel.
Le but étant de réparer la blessure narcissique de l’enfance en générant des scènes de crises – en créant des conflits tout en jurant vouloir les éviter – qui sont un terrain de jeu dramatique pour expulser de la frustration, de l’amertume et dénier un désir secret de soumission à l’autorité et un constat d’impuissance où la personne après avoir provoqué l’autre aux moyens des mécanismes de sa psychologie, en étant déplacée et mal ajustée dans son comportement va se positionner en victime par un mécanisme de projection psychologique pour ensuite toujours revenir à la charge et être incapable de passer à autre chose et d’accepter le rejet ou une limite.
Elle sera prête à faire de fausses excuses, à employer la flatterie, à harceler, à mentir, à accepter des faux compromis non éthiques et à se trahir temporairement elle même, à employer de faux prétextes pour justifier un contact et à passer par le téléphone ou les mails si elle est déjà bloquée sur les réseaux sociaux sans jamais s’ajuster et s’autoréguler dans son comportement en pensant que sa quête est noble et correcte que son besoin et son sentiment sont réels et légitimes sans voir qu’elle est assujettie par une transe hypnotique qui a choisi l’autre comme support de réparation pour sa blessure narcissique et que dans la plupart des cas elle n’a d’ailleurs aucun respect et amour profond pour la personne qui l’obsède, c’est même souvent l’inverse, parfois elle a tout un tas de choses à lui reprocher et en a un mépris ou du dégout ou ressent de l’envie ou de la jalousie etc… et sa personnalité se met inconsciemment en compétition avec l’autre et se blesse avec un processus de comparaison en pensant que l’autre lui est supérieur et va chercher à détruire la fausse perception de supériorité qu’elle a de l’autre en le rabaissant ou en le poussant à se rabaisser par des tentatives de provocation pour tuer la figure d’adversité et la remplacer par sa propre supériorité, c’est en réalité l’expression d’un défaut de compréhension de ses propres mécanismes psychologiques et un complexe d’infériorité caché par une sur affirmation et sur confiance apparente qui est remplie d’insécurités.
La personnalité est en réalité magnétisée par son complexe d’infériorité au point d’inventer des choses et de déformer le réel de façon subjective.
Afin de tenter dramatiquement de soulager l’angoisse morbide et la peur du vide intérieur par la compulsion en défendant la valeur de sa personnalité et son système de croyance en le mettant en joute avec celui des autres, systématiquement, en comparant, en questionnant faussement en mode interrogateur comme les enfants le font juste pour déposer son argumentation et avoir l’attention ou corriger en cherchant la faille, en ingérant et intercédant dans ce qui ne la regarde pas, en critiquant, poussant au débat stérile et à la dépense d’énergie vaine ce qui n’est pas intelligent, le débat n’est jamais intelligent.
La personnalité cherche ainsi à compenser ses propres manques et à se prouver sa propre valeur par des mécanismes de compensation qui lui sont souffrants afin de gagner sur le traumatisme initial sans remettre pour autant en cause sa compulsion hypnotique ni se rendre compte objectivement du réel pouvoir de la charge psychoactive de la mémoire de son matériel expérimental sur sa psychologie et son comportement.
Le mieux pour ces personnes étant de les confronter à leur blessure et de les pousser à s’ajuster par leur propre expérience par le silence et la mise à l’écart pour qu’elles puissent dans la solitude passer par le corps de douleur leur mémoire traumatique et se rendre compte du mécanisme qui les assujettie à vivre des relations asymétriques voire toxiques ( autant pour elles mêmes que pour l’autre ) et à rester ensevelies dans des situations inappropriées et décalées avec leur désir et leur système de valeurs par dénie de l’incompatibilité vibratoire, décalage avec le réel, dépendance à l’émotion forte, attitudes vampiriques et contrôlantes par un manque d’objectivité, d’estime et de conscience d’elles mêmes.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
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Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
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Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.