Établir des constats et assoir une vibration centrique d’autorité.
Colère et Jugement:
« Comment les maitres de l’illusion ont volontairement inversé deux principes intelligents pour éteindre le feu de l’esprit par le bon sentiment et l’eau de la haute spiritualité. Ou comment a été désactivée la volonté supérieure pour éliminer l’opposition, en narcotisant l’être dans les vapeurs d’abstraction des eaux nacrées de l’astral »…
L’Homme est un poisson c’est à dire qu’il est d’une certaine manière noyé entièrement dans les eaux inconscientes de l’astral et la spiritualité de cet Homme inconscient est à l’image d’une modulation d’un état chimique de l’eau sous forme de vapeur, elle donne ainsi l’apparence d’une forme de transparence mais reste de la même nature vaporeuse et présente donc des qualités d’opacités plus un moins floues.
L’esprit lui est un principe électrique il est donc éclairant et pour que cette électricité puisse entrer dans l’astralité de l’Homme inconscient, il va devoir emprunter un circuit mais ce circuit est inondé par l’émotionnalité de l’âme planétaire, il trempe alors littéralement dans la mémoire et baigne dans le sentiment. Alors la colère qui est une force vibratoire et un feu vif, va être utilisée d’une façon très opportuniste par l’esprit pour assécher ce circuit, afin que l’étincelle puisse jaillir pour établir le contact.
Premièrement cette colère va être une colère colorée, une colère brûlante mais elle va marquer au fer rouge un premier point de rupture et une première cassure d’opposition avec le monde astral, en allumant une mèche dans l’atmosphère chargée de gaz pour commencer à l’enflammer progressivement.
Et cet embrassement de foudre parvient toujours dans un mouvement articulatoire c’est à dire qu’il parvient lorsque l’être est arrivé au bout d’un cycle expérimental et d’une posture de conscience du comportement. Cette descente espritique de la conscience mentale vient donc parachever un cycle liquide, un cycle astral pour amorcer un cycle éthérique, un cycle mental pour aller vers un cycle bouclant le processus intégratif de la lumière réelle.
Ainsi l’Homme de l’ère du poisson va arriver à un point critique de déception majeure par rapport au monde phénoménal et à son expérimental et va commencer par un mouvement d’esprit à « renverser ses eaux » par le mouvement de l’ère du verseau ce qui va le conduire à vivre le grand écœurement et c’est par ce grand écœurement et cette grande déception et désillusion par le deuil du passé mémoriel qu’il ne va plus être capable de boire naïvement la soupe qui lui est servie par défaut et va donc commencer à la renverser sur la table ne pouvant plus se mentir ou se spirit-ritualiser pour parvenir à l’apprécier malgré son dégout vibratoire.
Alors tel un volcan intérieur il va se mettre à bouillir et à brûler par sa lave pour déconsentir.
Et c’est important pour casser certaines formes de comprendre qu’un être vibrant dans ce monde est en colère par principe car son intégrité est bafouée par l’astral en permanence parce qu’il doit regagner à la force de sa volonté son propre territoire mais ce n’est pas une colère émotive qui nourrie cet astral, c’est un mouvement d’intégrité puissant et constant et cela devient à terme un réflexe atomique intégré par un feu complètement refroidit, un acide éthérique extrêmement brûlant qui dégrade toute astralité pour la remettre à sa place et dans l’ordre et par la posture et l’élan vibratoire cela se traduit par de l’autorité sèche et instantanée et le jugement intervient dans ce passage à l’autorité pour établir des constats afin de remettre l’Homme dans sa centricité et dans la lucidité de sa vision subtile.
Alors un Homme conscient passe son temps à évaluer, il constate et fait des états des lieux objectifs, il soupèse la vibration, il l’intuite, il mesure et cela qu’on veuille ou non le reconnaitre passe par un jugement direct et foudroyant sans compromis, c’est un laser qui perce l’obscurantisme ambiant mais l’Homme conscient n’en souffre pas, il s’instruit de ce qu’il sent de ce qu’il sait.
Car la matrice astralisée désactive par la croyance le feu de l’esprit pour le noyer dans l’eau du sentiment, la spiritualité est là pour cela alors les êtres se désactivent et s’en vont rêver dans le haut astral, ils deviennent hautement vaporeux et perdent le feu et leur centricité, ils deviennent ectoplasmiques et non éthériques.
Et ils pensent qu’il faut aimer astralement son prochain, s’adapter compulsivement alors ils mangent la soupe qui leur est servie même si elle est dégueulasse et se mentent à eux mêmes pour l’apprécier au lieu de renverser la table avec le bol pour aller faire leur propre cuisine avec leurs propres ingrédients pour être bien et à l’aise de la manger ensuite. Et c’est une métaphore!
Et ce dénie profond d’intégrité pour conserver la forme positive crée énormément de chaos et l’Homme a énormément de mal à reconnaitre que souvent « l’enfer est pavé de bonnes intentions » et c’est très réel et l’Homme le découvrira un jour le mal dans le bien dans la sphère astralo-matérielle ce qui le conduira à ce point d’écœurement et cette rupture avec sa spiritualité astrale alors il verra les choses autrement, d’une façon plus mentale.
Car la personnalité empreinte de spiritualité sous prétexte d’amour et de non jugement perd l’intelligence subtile et ne voit plus ce qui est réel et souvent agit d’une façon qui garantie une forme d’irrespect fondamental de l’autre.
Elle projette donc son bon sentiment personnel telle une glu émotionnelle dans laquelle elle enrobe les autres à subir sa croyance, son propre besoin ou sa sentimentalité souvent flirtant avec l’érotisation du phénomène.
Elle se croit aimante mais impose d’une certaine manière une forme de dogmatisme sirupeux, par l’apposition d’un champ de forme magnétique émotionnel qui même très raffiné est toujours une modulation du corps de désir psychologique sous forme d’un ego spiritualisé.
La plupart de ces personnes sont donc pétries d’un orgueil qu’elles ne voient pas et nieront jusqu’au bout et se repaissent des entités de haut astral qui les fascinent et les soutiennent dans leurs illusions.
Elles vivent dans une sorte d’unité duelle où elles sont dans le dénie du principe global et favorisent la pensée magique de l’idéal sublimé imaginaire, elles ne vivent pas dans le réel mais dans l’abstraction du fantasme et la plupart du temps se confortent elles mêmes dans leur erreur par le bon sentiment, l’espoir et la foi.
Et finalement l’on s’aperçoit au bout d’un temps que la pulsion narcotique du bien faire fait beaucoup de ravages plus parfois qu’une personne directe et réelle en fait par sa franchise car elles sont très vampiriques par leur désir d’être aimées et reconnues, elles ont besoin d’une attention constante et d’être perçues comme de bonnes personnes et au bout du compte sont peu sensibles réellement et subtilement à l’écoute profonde des ressentis de l’autre ce qui est à la limite d’un égocentrisme bien caché derrière un altruisme, une abnégation et une bienveillance exacerbée.
Une personne réelle ne cherchera pas à être aimée elle est intéressée à être centrique et à mettre de l’ordre, à être en vibration et c’est ainsi que la colère vibratoire et les jugements dépolarisés émotionnellement seront des outils mis au service de son intelligence – par contre – un Homme conscient dans sa personne modulera toujours ses élans vibratoires vers le réel par le respect fondamental qui fera qu’il n’entrera pas dans la transe du débat et sera capable de se taire lorsqu’il le faut pour préserver sa paix et la paix de l’autre. Et cette personne réelle emploiera l’humour sarcastique parfois comme une pirouette pour passer à travers les emprises et les gouttes astrales c’est ce qui s’appelle faire de l’esprit. C’est intelligent l’esprit, ça ne laisse pas prise, c’est courant!
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Atemporelle.