La neutralité luminale auto-discernante ce n’est pas du désintérêt c’est une absence de polarisation.
Dans le désintérêt il y a l’idée d’une dégradation, de quelque chose qui accompli un mouvement inverse et met une énergie d’action ou de résistance à ne pas produire un effet qui à un certain moment se produisait, ce qui est le fruit d’une réflexion ou d’un raisonnement logique établi au préalable et d’une polarisation.
Ici il n’est pas question d’un désintérêt, il est question d’une énergie qui n’est tout simplement pas disponible ou mise à disposition pour une action ou un sujet ou une chose et qui est évalué instantanément par rétro-éclairage cellulaire comme non essentiel ou comme une perte d’énergie ou un ralentissement.
C’est la même mécanique pour le sujet de la croyance, ne pas croire ce n’est pas dé-croire c’est à dire employer un subterfuge psychologique et de l’énergie à défaire le phénomène de la croyance mais c’est une énergie qui n’est plus mise à disposition pour répondre vibratoirement au mécanisme de la croyance d’une façon polarisée par la démobilisation d’une énergie vers le phénomène de la croyance…
Alors quelque chose qui avait lieu au lieu d’être tenté d’être défait par une dynamique d’opposition n’a simplement plus lieu.
C’est la même mécanique avec le principe de briser la forme, briser la forme, ce n’est pas dé-former une forme extérieure par la force, c’est à dire employer une stratégie psychique et de l’énergie à défaire la mécanique de la forme en tant que telle mais c’est une énergie qui éclaire la subjectivité qui polarise la forme, c’est donc la polarisation de cette forme qui n’a plus lieu et au lieu qu’un de ces effets tente d’être détruit extérieurement, c’est l’ombre ou l’obscurantisme projeté à travers la corruption psycho-émotionnelle de la vision qui est éclairé et dont le matériel inconscient s’éclaire en fulgurance, consciemment pour en neutraliser l’impression avant qu’elle ne s’imprime et ne s’interpose au regard lucide.
Alors concernant l’absence de polarisation, rien ne se désintéresse en tant que tel mais il n’y a simplement pas d’intérêt donc pas de mise en vibration donc pas d’intention orientée vers un sujet, une action ou une chose et donc pas de disponibilité de l’énergie pour cette cause et cela sans que n’intervienne un processus mental.
Ce n’est donc pas un processus qui relève du gout et du choix, du plaisir ou du déplaisir relatif au corps de désir ou aux mécaniques psychologiques mais une mécanique vibratoire instantanée qui a lieu avant que n’intervienne la subjectivité de l’attraction ou du rejet.
C’est une évaluation vibratoire supraconsciente directe, fulgurante et immédiate qui mobilise de l’énergie ou non selon si l’intention ou l’action sont au service de l’intelligence et précisément ajustées pour le système lui même ou superflues ou alourdissantes atomiquement parlant.
Cette fulgurance internalisée s’impose vibratoirement lorsque le gel astral coloré et chargé de particules mortes alourdissant la cellule et réduisant l’amplitude de sa vibration par la corruption de forces retardataires est brulé et consommé par un feu blanc électrique sans combustion et donc sans dépôt.
Ce discernement luminal cellulaire instantané permet à la cellule par une accélération de son temps d’initier sa réelle capacité de liberté de mouvement dynamique, elle peut alors être employée comme une caisse de résonance vibratoire vitalisée par le mouvement luminal de l’intelligence pour ensuite être transductée tel un signal informatif dans le mental apuré et a-polarisé afin que ses données puissent consciemment être utilisées en cohérence créative d’avec un circonstanciel immédiat.
L’organisation de l’intelligence luminale dans un mental qui n’est plus polarisé et donc transparent devient alors une conséquence de la vibration luminale cellulaire au niveau atomique mais non la conséquence d’une mécanique logique de raisonnement rationnel.
Lorsque cette nouvelle mécanique d’intelligence luminale atomique vibratoire s’installe par intégration évolutive via l’obsolescence programmée de l’ancien système ce dernier est définitivement remplacé et cela de façon irréversible.
La gestion de l’énergie essentielle devient alors un seul et même mouvement priorisé et dynamisé par l’intelligence vibratoire intégrée atomiquement.
Et cela sans stockage par une mécanique intellectuelle mémorielle conservatrice mais en fulgurance luminale instantanée, comme un flash lucide informatif éclairant et traversant, valable en l’instant pour/et au service de la personne intégrale réelle.