Ce n’est pas compliqué à observer par schématisation le phénomène ou la phénoménisation d’une énergie.
La diffraction je vois cela comme une traversée à travers un gel coloré et épais, la lumière de l’information et sa vibration va donc y être en quelque sorte amortie par absorption instantanée de son impact vibratoire et ralentie et abaissée par la densité du gel y perdant ainsi au passage en transparence et donc en qualité et en clarté en y étant comme dénaturée par de la coloration.
Cette épaisseur de gel c’est un voile de subjectivisation et de corruption astrale et c’est la nuance qui existe entre un courant d’énergie vibrant qui agite et accélère le temps de la cellule, la vitalise puis la traverse pour y laisser une transparence lucide et une énergie qui va s’engrammer dans le gel astral du mental psychologique alourdi par les forces de conservation de l’intellect liées aux mécanismes de l’ego psychologique et de son écosystème imbriqué.
C’est un peu le principe du téléphone arabe ou de l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours, la vibration de l’information originelle a perdue un peu de son intensité, d’impact et de réel au fur et à mesure qu’elle est passée au travers de la corruption de différents filtres et voiles de subjectivité.
C’est notamment ce qui arrive lorsqu’il y a formalisation de l’énergie ou d’une vibration par l’instauration de la doctrine et de la connaissance, cela devient de la vibration plus basse, de l’énergie densifiée alourdie par magnétisation qui stagne et qui fatalement se fige en énergie morte car elle y est systématiquement formalisée par la phénoménisation du monde de la forme.
Pour autant il est inutile de polariser ce principe car c’est une mécanique qui a lieu lorsqu’il y a une « descente » sur un plan vibratoire vers la densité de la matière, cela vient d’un phénomène de propagation des ondes dans un espace temps, lorsque la vibration ralentie au point de se casser sur la surface d’une vague ondulatoire entre le mouvement et l’arrêt du mouvement lui même, lorsque la vibration est devenue presque infime alors apparait la forme dense et les mécaniques du mental psychologique qui se situent au niveau où les forces magnétiques vont être capables d’interpréter le signal de cette vibration lorsqu’elle est descendue pour générer le niveau de réalité de l’expérimental existentiel et d’une genèse de forme pour une conscience expérimentale.
C’est une strate des possibles et c’est un rythme d’oscillation et une résonance dans un temps.
C’est le principe même qu’il y ai une source de vibration et un épicentre hautement vibratoire qui génère par un effet de propagation et de résonance dans un espace aussi un ralentissement du processus du mouvement et une chute vibratoire où apparaissent de plus en plus de polarisation.
Pour supprimer ce phénomène il faudrait supprimer la vibration fondamentale. Il y en aura toujours de la basse vibration tant qu’il y en aura de la haute!
Seulement les consciences en voie d’émergence évolutive seront à même par une accélération de leur mécanique cellulaire individuelle de développer par l’impuls de leur esprit des nouveaux niveaux d’affinités vibratoires avec des plans plus subtils où l’intelligence est moins diffractée et plus intégrale.
Donc ce sont les êtres qui évoluent dans leurs niveaux de perceptions et voyagent à travers les dimensions sur le fil ondulatoire de la vibration vers l’épicentre vibratoire d’une source de lumière réelle en y créant un passage par transparence et non la forme elle même qui évolue mais sert de support expérientiel pour faire une analogie mais c’est bien plus subtil que cela encore.
Pour simplifier l’intégration de l’intelligence c’est par une désintégration des voiles, un mouvement de translation dans une accélération temporelle de la conscience individuelle vers un plan vibratoire plus rapide non polarisé, originel, intelligent et donc moins dénaturé dans la lumière de son information.
L’intelligence est un feu électrique sans combustion qui ne laisse aucune trace ou dépôt mais traverse en fulgurance luminale lorsqu’il n’est point corrompu, ralenti ou arrêté dans son mouvement par une force brute magnétique, polarisante et absorbante.
C’est la capacité de voyager par intrication et de communiquer avec la lumière originelle dans l’univers des possibles et à travers les mécaniques vibratoires par une ouverture d’esprit générant des fenêtres de transparence sur l’infinité des potentialités du quantum intemporel.
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