Vivre une émotion mentalement.
La dépolarisation avancée du cœur astral de l’ego émotionnel chez l’Homme conscient induira un changement de perspective et de fonctionnement majeur dans le vécu et la gestion de ses émotions.
La transduction par une verticalisation de ses affects créera chez cet Homme conscientisé, un basculement vers un nouvel état qui induira que ses émotions ne seront plus vécues telles qu’elles l’étaient auparavant ( chez l’Homme inconscient assujetti à sa psychologie ) donc selon un certain script et guidées par une ordination et une coloration précise mais seront recalibrées, telles le signal d’un influx nerveux et hormonal passant au travers le corps, semblable à une chimie dont l’on ressentirait « sensoriellement » les effets mais sans une formalisation à l’histoire personnelle par l’identification qui pouvait être prépondérante avec l’ancien système réactionnel émotif ( par résurgence du mémoriel inconscient ).
Il est ainsi possible pour l’Homme conscient de « passer » de la sensation chimique et du vertige émotionnel à travers la corporalité par la traversée d’un niveau de malaise dans son corps physique, comme si ce dernier réagissait à une certaine qualité de substance mais n’avait plus la grille de lecture attenante pour la « fixer » dans une réalité et s’y attacher pour s’y créer une nature et du caractère, le corps matériel s’en trouve alors comme « traversé » par une charge magnétique et par de la douleur d’inconfort et les larmes d’écœurement pourront se manifester spontanément pour évacuer une surcharge de pression nerveuse mais pour ensuite créer un état d’allégement du vécu – repositionnant l’Homme conscient dans son alignement – en équilibre, hors des polarités et dans un état de bienêtre suffisant pour fonctionner à des niveaux corrects.
Il est ainsi possible pour l’Homme conscient de vivre le deuil et la souffrance au niveau chimique et non plus seulement psychologique par la traversée de la douleur sans cristallisation, donc sans l’établissement d’une souffrance dans la durabilité. La différence se faisant principalement au niveau de la non identification au signal, l’Homme conscient vivant une émotion forte sera – comme dans un tour de manège – dans la scène mais également en observation, avec une sensation d’irréalité et d’être dans un rêve et d’alterner entre des états de pleine lucidité, d’inconfort physique et « dans le gaz » comme « flottant » dans le ressenti de son corps matériel mais il se gardera lui même quelque part « la tête hors de l’eau » par la capacité d’être en transparence instantanée et de pouvoir décrire le phénomène produit comme s’il l’étudiait sans qu’il lui appartienne réellement.
Ainsi l’activation émotionnelle fonctionne d’une manière semblable à un téléchargement de données, par de la production et de la projection d’imagerie – dans l’écran mental – sous forme de séquences courtes d’images renvoyant à des souvenirs colorés par une émotivité ou un sentiment priorisé par la personnalité, afin de soulever et d’induire un mouvement émotionnel polarisé par l’envoi d’un impuls vertigineux pour le système nerveux générant une réaction d’induction puissante et douloureuse au niveau du plexus solaire. Cette activation est le produit d’une sorte de communication – par un niveau de relation sympathique – entre l’image et ce qu’elle produit émotivement en fonction de la mémoire d’un sujet.
Lors d’un choc émotionnel, une certaine qualité et quantité d’images à caractère fortement symbolique sont donc projetées dans l’écran mental pour y inscrire une certaine impression pour que la base de donnée les « assemblent » et les « réorganisent » et brode avec ce matériel un scénario plausible en corrélation avec un circonstanciel et y réagisse selon le mémoriel présent dans le corps.
Cela se passe précisément et d’abord au niveau d’une projection d’images, entrainant une cascade de signaux nerveux et chimiques orientant le corps dans une certaine ambiance de ressenti et c’est très magnétisant, presque irrésistible pour l’Homme qui n’est pas averti de sa soumission inconsciente à l’automatisation de sa machinerie astrale.
Ces réactions entrainent donc l’Homme inconscient – qui dans un premier temps les subira totalement pour en dés-occulter les principes – à vivre certaines programmations par un matériel expérimental ou bien à renforcer lui même son matériel par une certaine polarisation de son expérience.
Et cela sera toujours relié directement à un niveau d’affinité magnétique avec la forme, car la forme est une systématisation de l’impression. Et le désir par l’élan de systématisation d’une impression forte donnera un niveau de réalité à la forme.
Alors cette forme pour l’Homme inconscient n’étant pas encore rendu à des niveaux suffisant d’observation lucide lui sera perçue comme dramatiquement impressionnante, catégoriquement très déterminante et comme une réalité de souffrance pour sa psychologie.
Mais l’Homme conscient sera par lui même suffisamment informé – par l’intermédiaire de son intelligence – des mécanismes occultes à l’œuvre et ainsi aura un net avantage et une capacité de distance et de maîtrise émotionnelle supérieure, lui évitant de sombrer et de se faire prisonnier des affres dégradantes de l’astralisation.
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L’Aleph est dans le monde mais pas de ce monde.
Ce contenu est un assemblage de savoir, de connaissance et d’expérience. Il est susceptible de comporter des défauts de retranscription ou des erreurs.
Il ne doit pas être cru dans sa forme mais peut réveiller un savoir et s’adresser vibratoirement à l’intégrité de l’Homme intégral.
Ce contenu ne peut pas faire l’objet d’un commerce et ne doit pas faire l’objet d’un culte ni être spiritualisé ni générer de la fascination ou de la crainte.
Cette vibration ne s’adresse pas à un grand public mais à un auditoire averti et lui même dans une sympathie vibratoire avec un matériel supramental ou en initiation solaire.
Aurélia Supraconscience Intemporelle.